Association acadienne des pèlerins et amis des chemins de Saint-Jacques
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L’origine du pèlerinage de Santiago de Compostela ​
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Des flèches jaunes, des rencontres incroyables, des coquilles de pétoncle, des douleurs dans tout le corps, des kilomètres de marche… Le camino de Santiago est né… Reconnu par l’UNESCO pour sa valeur historique, il reste une source de réflexion pour plus de 200 000 marcheurs / pèlerins par ans.
Nous voici donc face à un phénomène sans commune mesure. Le pèlerinage de Santiago de Compostelle se perpétue depuis environ 1 200 ans. Bien que les raisons et motivations ont évoluées au cours des siècles l’esprit du chemin persiste.
Voici donc l’histoire d’un chemin particulier…
 
Nous sommes vers l’an 300. Depuis les débuts de la chrétienté, la persécution des chrétiens fait partie de leurs vies. Maintenant, nous approchons de son apogée dans le monde Romain.
  
L’empereur romain, Constantin, crée un grand bouleversement religieux en déclarant la « liberté de culte ». Cette proclamation offre enfin un répit aux chrétiens. Toutefois, Constantin qui est de plus en plus attiré par la foi chrétienne constate le peu de cohérence dans la pratique de cette foi. Il convoque donc un premier concile en 325 (Concile de Nicée) qui réunit les principaux dirigeants de cette religion avec pour but d’établir des bases solides de ce qui sera les lignes directrices à suivre. En 326, pour souligner l’importance de la crucifixion et résurrection de Jésus, il fait construire une église à Jérusalem; l’église de Saint-Sépulcre. C’est à partir de cet événement que la chrétienté a pris son envol. Les chrétiens avaient enfin un premier lieu de rassemblement important, un premier pèlerinage…
Que dire de Rome? Rome était, au début de la chrétienté, un endroit très dangereux où il fallait être discret si on ne voulait pas être torturé ou tué. D’ailleurs le premier évêque de Rome, Saint -Pierre y fut crucifié en 64. L’histoire raconte que l’obélisque sur la place Saint-Pierre serait l’emplacement de son supplice.  Il aurait même, à sa demande, été attaché la tête en bas. Il ne se jugeait pas digne d’être crucifie comme son maitre, Jésus. 
 
Saint-Paul fut aussi arrêté et exécuter à Rome vers 60 mais il manque plusieurs détails pour tout confirmer.
Ces informations démontrent très bien les dangers de vivre sa foi dans le monde Romain de l’époque. Le pèlerinage à Rome était donc à proscrire. De très discrets et dangereux pèlerinage se sont poursuivi pour plusieurs centaines d’années à Rome et Jérusalem.
 
C’est au cours de VII ième siècle que Mahomet introduit l’islam dans le jeu. Rome ne se voit pas beaucoup affecté par ce nouveau joueur car le christianisme y est bien implanté. Devenu le centre administratif du christianisme officiel depuis 326 suite au Concile de Nicée. Même le nom « pape » avait été adopté pour remplacer le titre de « évêque de Rome » pour décrire le grand chef de cette religion. Et donc, la « démocratie religieuse » avait assouplie un peu la possibilité de voyage à Rome.
 
Pour Jérusalem, il en va tout autrement. Jérusalem est d’abord une ville juive, envahie et contrôlée par les romains qui vénèrent une multitude de dieux. Arrive Jésus, qui par sa nouvelle doctrine change la face de la région. À partir de 326, il existe une certaine cohabitation difficile entre ces deux religions réclamant le contrôle de tout ce territoire où s’est déroulé luttes, miracles et don de Dieux qui définis leurs identités religieuses. Nous voici maintenant à la fin du VII ième siècle et l’islam veut prendre sa place. Trois sociétés, trois dieux, trois visions du pourquoi chacun devrait être le maître des lieux.
Finalement, ce sont les musulmans qui prennent le contrôle du territoire. Pour l’Europe, cette situation est insupportable. 

​Pour mettre de l’ordre à Jérusalem il n’y a qu’une solution; la guerre sainte pour chasser les impurs de ces lieux saints. Et les croisades étaient nées!

Les croisades étaient des campagnes militaires organisées par les papes et les riches royaumes de l’occident pour reprendre Jérusalem et la Terre sainte des mains des impures. Le massacre des populations faisait partie de ce système de purification.  En tout, il y a eu 8 croisades entre 1095 et 1270.
 
Aussi mauvais que peut être la guerre, elle apporte quelque fois des améliorations dans la société.  Je vais prendre par exemple la création de deux ordres de moines-soldats : l’Ordres des chevaliers de Malte et l’Ordres des Templiers.
Le premier, l’Ordre des chevaliers de Malte ou l’ordre des Chevaliers-Hospitaliers. Au cours des croisades ils avaient pour mission de protéger et soigner les pèlerins qui se rendaient dans les lieux saints. Ils sont donc, au moins en partie, responsables de la construction et l’opération de nombreux hôpitaux dans les régions où les pèlerinages se faisaient. Il est intéressant de constater que cet Ordre a été connu sous différents noms dont celui de l’Ordre de Saint-Jean de Jérusalem. Ce nom aurait des ramifications jusqu’à nos jours avec l’Ambulance St-Jean.
 
Le deuxième Ordre, l’Ordre des Templiers, est encore plus intéressant. Fondé en 1129 pour protéger les pèlerins qui se rendaient à Jérusalem. La mission s’est, au fils du temps, agrandit jusqu’à devenir le protecteur de Jérusalem où ils firent des fouilles archéologiques importantes qui auraient mené à d’importantes découvertes. Les Templiers ont aussi créé un système de banque qui est encore aujourd’hui la base de notre système bancaire. Puisqu’il y avait beaucoup de brigands sur les routes de pèlerinage, les Templiers, moyennant commission, proposait de transporter l’argent des pèlerins qu’ils pourraient récupérer à différentes places sur le parcourt. Ce système a rendu les Templiers riches et puissants. Avec la richesse vient le besoin de posséder. Les Templiers deviennent donc des bâtisseurs, des propriétaires de biens fonciers. Cette situation crée de la jalousie et de l’envie de la part du pape Clément V et du roi de France, Philippe IV le Bel qui sont avides de ses richesses.  En 1312, l’Ordre est dissous. Tous les Templiers (ou presque) sont faits prisonnier. 


​SANTIAGO DE COMPOSTELLE
 
Saint-Jacques est l’un des 12 disciples de Jésus. Il est connu sous différents noms : Jacques, fils de Zébédée, frère de Saint-Jean l’Évangéliste, Jacques le majeur, fils du tonnerre (nom donné par Jésus à cause de son caractère fougueux), Santiago de Compostela.
Saint-Jacques qui était très près de Jésus fut l’un des premiers à verser son sang pour lui.
Après la mort et la résurrection du Christ, Saint-Jacques partit de Jérusalem pour aller évangéliser le nord-ouest de l’Espagne que l’on connaît comme la région de la Galice.
Saint-Jacques rassembla 7 hommes qu’il fit nommer évêque par Saint-Pierre avant de partir pour l’Espagne.
N’ayant pas atteint les résultats escomptés les 8 hommes revinrent à Rome en 42 où, sous les ordres de Hérode Agrippa, Saint-Jacques fut emprisonné, torturé et enfin décapité. À la faveur de la nuit, les amis de Saint-Jacques volèrent le cadavre et partir à la dérive dans une petite barque. Ils accostèrent à Iria Flavie (aujourd’hui Padron).

Avant de procéder à l’inhumation il faut demander la permission à la reine Lupa qui les accuse d’espionnage. Après avoir surmonté plusieurs obstacles, la reine décide de leurs donner deux bœufs sauvages pour aller ensevelir le corps. À la surprise de la reine, les deux bœufs sont dociles. Bouleversée par tant de phénomènes, la reine se convertit et ordonne la destruction de tous les temples celtes. Elle céda son palais pour les besoins de Saint-Jacques. Aujourd’hui, la cathédrale de Santiago de Compostelle est située sur l’emplacement du palais de la reine Lupa.
 
La tombe de Saint-Jacques tombe dans l’oubli jusqu’à vers 820 à 830. Une nuit, un ermite, Pelagos (ou Pelagius) qui vivait dans les bois près d’où se situe aujourd’hui Santiago de Compostelle eu une vision durant son sommeil : il vit l’emplacement du corps de Saint-Jacques. Il aurait été conduit par une « pluie d’étoile » vers un tumulus (soulèvement de terre sur une tombe) que l’on nomme depuis, campus stelarum (champs d’étoile). La légende veut que ce soit l’origine du nom « Compostelle ».
Pelagos avertie l’évêque Théodomir d’Iria Flavie (Padron) qui intervient en 838. Il découvre le monticule en question dans un ancien cimetière romain. Après prières et consultations avec ses homologues régionaux, l’authenticité du tombeau de Saint-Jacques est certifiée.
Aussitôt avisé, le roi Alphonse II ordonne la construction d’une église en l’honneur de Saint-Jacques à l’endroit de la découverte pour abriter les restes du saint. Le roi encourage le pèlerinage en ce lieu : le ton est donné…
Depuis 711, la presque totalité de l’Espagne est sous domination musulmane. La découverte de la relique est une bénédiction pour l’Espagne qui y voit un soutien à la poursuite de la Reconquista (c'est-à-dire la reconquête du christianisme sur l'islam).  
En 844 a lieu la bataille de Clavijo (près de Logrono). Alors que les chrétiens allaient être défaits, un blanc destrier, l’épée à la main change l’issue du combat. Aucun doute, c’est Saint-Jacques le matamore, celui qui pourfend les infidèles…  Cette Reconquista va tout-de-même s’étendre jusqu’en 1492 avec victoires et défaites.
En 997, El Mansour détruit Compostelle mais épargner la tombe du saint sans que personne ne sache pourquoi. La légende dit que des prisonniers chrétiens furent forcés de transporter les cloches de la cathédrale jusqu’à Cordoue et que deux siècles et demi après, le roi Ferdinand III prend possession de la ville et force des prisonniers musulmans à rapporter les cloches à Santiago. La cathédrale avait été reconstruite en 1000 par l’évêque Pedro Mezonzo.
 
Pendant ces temps dangereux pour le voyage, les pèlerinages continuaient… En 950, Godescalc, évêque de Puy en Velay, entreprend le pèlerinage vers le tombeau de Saint-Jacques depuis chez lui. Ceci devient le premier pèlerinage documenté vers ce nouveau lieu saint. Ce voyage confirme l’importance de cette destination. Mais c’est au XI ième siècle que se développe l’infrastructure pour le support des pèlerins grâce aux ordres religieux et des riches de l’époque. Ce n’est cependant qu’en 1120 que le pape Calixte II proclame que les années Saintes à Compostelle permettront aux pèlerins l’obtention d’indulgence plénière, c’est-à-dire, le pardon de tout péché et accorde aux pèlerin l’accès direct au paradis à la fin de sa vie. Le pape Alexandre III confirmera ce privilège à Compostelle en 1197.
 
 Et voici le premier guide! Ce texte est écrit par Gonzalo Lopez
Vers l’an 1140, un religieux français, Aymeric Picaud écrit ce qui sera considéré comme le premier guide touristique, le « Liber Sancti Jacobi », pour les pèlerins se rendant à Compostelle. Il s’agit d’une minutieuse description du Chemin, des villes et villages traversés ainsi que du caractère de ses habitants (avec un avis assez défavorable sur les habitants de l’Espagne). Y sont décrits les dangers, les distances entre villages, monuments et centres spirituels, les hospices, les bons et mauvais fleuves, etc. Il inclut également une description détaillée de la ville de Santiago de Compostela, ses monuments et ses reliques... L’itinéraire est découpé en 13 étapes, chacune d’elles divisée en plusieurs jours, avec une distance à parcourir d’environ 35 Km par jour à pied ou le double à cheval. Ce livre a été par la suite attribué au pape Calixte II par les moines de Cluny ; pour cette raison il est connu également en tant que « Codex Calixtinus ».
 
L’âge d’or du pèlerinage au tombeau du saint perdura environ 200 ans et ce, malgré les dangers du voyage et la Reconquista qui se poursuit. Durant cette période, un réseau de gites et hôpitaux s’est développé pour soutenir les pèlerins. Les Ordres religieux y sont pour beaucoup. Les Templiers, et les moines-hospitalier y ont fortement contribuer avec le support des rois et des nobles qui y ont investie massivement.
 
 
C’est à partir du XIV ième siècle que le déclin du pèlerinage s’amorce et va pratiquement disparaître. La documentation nous dit que le 25 juillet 1968 (année sainte), jours de la fête de Saint-Jacques il n’y avait que quelques quarante pèlerins à la cathédrale.
Plusieurs composantes expliquent ce déclin.
  • La Reconquista avait repoussé les musulmans plus au sud du pays diminuant le soutien des pèlerins et rendant le voyage plus difficile.
  • Les épidémies de peste noire au XIV ième siècle. Cette maladie contagieuse aurait tué un tier de la population en Europe en 1348.
  • La guerre de Cent Ans (1337 – 1453) entre la France et l’Angleterre apporte un afflux de brigands sur les chemins lors des courtes périodes de trêves.
  • La réforme protestante (entre le XVI ième et XVII ième siècle) qui discrédite le « culte des reliques », puis les guerres de religion.
  • Les conflits entre la France et l'Espagne qui rend les pèlerins suspects d’espionnage alors que l’inquisition est en pleine action.
  • Louis XIV interdit aux sujets de son royaume tout pèlerinage dans un royaume étranger.
 
Un autre problème cause beaucoup de dommage ; la disparition des reliques de Saint-Jacques. En 1590, le corsaire anglais, Francis Drake menace de ravager Santiago, de détruire sa cathédrale et enfin de piller le tombeau du saint. L’évêque de Santiago décide qu’il faut mettre à l’abri les saintes reliques. Il les cache et malheureusement meurt avant de dire à qui que ce soit où elles sont. Ceci fut probablement la principale cause du déclin final du nombre de pèlerin.
 
La renaissance de la ferveur du pèlerinage s’amorce par accident. La cathédrale ayant besoin de rénovation, l’évêque de Compostelle, Miguel Paya y Rico entreprend les travaux. Nous sommes le 28 janvier 1879 et les ouvriers perce une voûte derrière l’autel principal. Il y trouve une urne avec des ossements humains. Serait-ce possible que ce soient les reliques cachées? L’évêque envoie cette découverte à l’université de Compostelle pour en avoir le cœur net. Le résultat est positif et le pape Léon XIII dans sa lettre « Deus Omnipotents » annonce la découverte au monde en 1884.
Le pèlerinage à Compostelle peut reprendre. Certes ce sera un début lent qui ne se concrétisera qu’à partir des années 1980. En 1993 la reconnaissance par l’UNESCO du chemin de Compostelle comme Patrimoine de l’humanité lui confirme ses titres de noblesse.
 
Le pèlerinage de Compostelle a retrouvé sa grandeur. Il a repris sa position d’importance avec les grands pèlerinages de Rome et de Jérusalem. L’intérêt grandissant pour ce genre de voyage qui peut prendre toutes sortes de formes; religieux, spirituel, physique, etc a permis de redécouvrir d’anciens chemins oubliés.
 
Il faut faire une parenthèse pour comprendre l’histoire de la coquille. De nos jours, le pèlerin transporte une coquille st-jacques sur son sac-à-dos à l’aller comme au retour. En plus, après présentation de sa crédentiel, le pèlerin reçoit un certificat qui confirme son pèlerinage. Dans les débuts du pèlerinage, tout ceci était inconnu. Premièrement, la crédentiel était un document officiel remis au départ par l’église pour valider le pèlerinage du voyageur. Une fois rendu à Compostelle, on donnait de nouveau vêtements aux pèlerins qui brulait ses vieux habits. Symboliquement cela représentait un nouveau départ dans la vie et pratiquement on essayait de prévenir de nouvelles épidémies.  À noter que ceci avait lieu à Compostelle et non à Finisterre (Le foyer où était brulé les vieux vêtements est maintenant sur le toit de la cathédrale). Et pour finir, la tradition encourageait les pèlerins à poursuivirent leur voyage jusqu’à Finisterre. Les pèlerins s’y procuraient des coquille st-jacques comme preuve de réussite de pèlerinage. 
 
Est-ce que toute cette histoire est vraie? Oui et non… Cette histoire est un mélange de faits véridiques, de légendes, de croyances, et de magie. Mais qu’est-ce qui nous poussent à partir vers Compostelle? L’Appel du Chemin? Probablement mais que nous promet ce Chemin? Il y a autant de réponses que de pèlerins. Ce qui est important c’est ce que le chemin apporte au pèlerin. Nous vivons dans un monde qui se cherche où les moyens de communiquer n’ont jamais été aussi nombreux et faciles et pourtant, où nous vivons de plus en plus isolés. Prendre le chemin de Compostelle nous permet, si on l’accepte, de vivre l’expérience du dépouillement, de la vie au rythme de la marche. Accepter ne serait-ce qu’un court instant le retour d’une vie plus simple où nous acceptons de ne plus tout contrôler, le laisser-aller. L’acceptation de l’autre sans juger de sa classe sociale, sa richesse, son âge… Accepter le bonheur!
 
Martyre de saint Pierre — Wikipédia (wikipedia.org)
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Constantin Ier (empereur romain) — Wikipédia (wikipedia.org)
constantin le grand wikipedia - Search (bing.com)
Obélisques de Rome — Wikipédia (wikipedia.org)
Histoire de l'islam — Wikipédia (wikipedia.org)
Croisades - Encyclopédie de l'Histoire du Monde (worldhistory.org)  IMPORTANT
Saint Urbain II prêchant la croisade - Ordre du Temple — Wikipédia (wikipedia.org)
Qui était Saint Jacques ? - Vivecamino
Pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle — Wikipédia (wikipedia.org)
Tout commence avec la découverte du tombeau de saint Jacques (la-croix.com)
svq-info.pdf (acadie-compostelle.ca)
Pèlerinage Saint Jacques de Compostelle : l'histoire (via-compostela.com)
Rapide et fatale : comment la Peste Noire a dévasté l'Europe au 14e siècle | National Geographic
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Avertissement

Nous n’avons pas la prétention de nous vêtir du titre d’ «historiens » mais nous pensons que le texte suivant apporte un éclairage contemporain sur les origines de pèlerinage de Compostelle et de son personnage central : SAINT-JACQUES
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Constantin le Grand
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Head Constantine Musei Capitolini MC1072 - Constantin Ier (empereur romain) — Wikipédia (wikipedia.org)
 
L’homme qui vient faire la différence : Constantin le Grand (272 – 337)
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Obélisque de Rome
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Le pape Urbain II prêchant la 1re croisade, Grandes Chroniques de France enluminées par Jean Fouquet, vers 1455-1460.
 
Saint Urbain II prêchant la croisade - Ordre du Temple — Wikipédia (wikipedia.org)
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​Pierre sur laquelle les amis de Saint-Jacques auraient attaché leur barque
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